La vraie faim… et la fausse.
La fin de la fausse faim ! “Tu as faim ? c’est une bonne chose !” me disait ma grand-mère. C’est un plaisir pour une grand-mère de nourrir un petit enfant. A vrai dire, j’avais plus souvent faim de gâteaux ou de chocolat, que du repas qu’elle cuisinait pour le dîner. Quand on se dit qu’on a une petite faim, mais qu’on ne peut la contenter qu’avec des sucreries, ce n’est probablement pas une vraie faim ! C’est une envie, un besoin de compenser, un souvenir de goût de sucré